Spiritueux 100 % québécois : une tendance ou une obligation?

de base, aromates, agrumes : beaucoup d’ingrédients essentiels à la fabrication de la vodka, du gin, du rhum ou des liqueurs proviennent d’ailleurs. Comment la pandémie a-t-elle affecté la chaîne d’approvisionnement des microdistilleries du Québec? Est-ce que produire des spiritueux entièrement québécois deviendrait une tendance de plus en plus lourde? Pour Nicolas Duvernois, de Duvernois Creative Spirits, créateur de Pur Vodka et du Romeo’s Gin, le nerf de la guerre est l’approvisionnement en alcool. En effet, la majorité des producteurs de spiritueux au Québec, ainsi que ceux de partout ailleurs dans le monde, achètent leur alcool de dis­tilla­teurs industriels. « Au Canada, il n’y a que deux ou trois fournisseurs… Et avec la folie du désinfectant à mains et l’explosion de la demande d’alcool, ils n’arrivent tout simplement pas à suivre… Il y a une rupture qui fait mal en ce moment, explique celui-ci. Ce sera pire dans quelques mois, car…

LE CONTENU QUE VOUS DÉSIREZ LIRE EST RÉSERVÉ À NOS MEMBRES.

Voir les offres d'abonnement

Vous êtes déja abonné ? connectez-vous

 

error: Alerte: Contenu protégé